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Drone

Flying Eye surfe sur le marché porteur des drones



Palme du Meilleur espoir

La Palme du meilleur espoir est revenue à Flying Eye, remise par Valérie Arnulf (VcomK) et Frédéric Tramaloni (Mutuelles du Soleil).

La météo incertaine de l’économie européenne ne pèse guère sur la trajectoire suivie par Flying Eye (entré à la 470e position dans notre classement).

La PME sophipolitaine continue à accélérer. Spécialisée dans la distribution et la maintenance de drones civils, la formation de pilotes et l’exploitation des données, son carnet de commandes s’étoffe sans discontinuer.

«Nous devrions doubler le chiffre d’affaires en 2022», estime Alexandre Thomas, PDG de l’entreprise, après un exercice 2021 déjà en forte croissance (+37%) qui s’est achevé sur la signature d’un gros contrat pour la fourniture de nano et micro-drones au profit du ministère des Armées, un marché de 6M€ sur 48 mois.

Un déménagement est inscrit au programme avant la fin 2022 pour s’installer dans des locaux plus grands, toujours sur la technopole, et quatre recrutements sont en cours pour étoffer l’équipe qui compte à ce jour 13 collaborateurs.

Si la création de l’entreprise remonte à 2019, Flying Eye s’appuie sur des antécédents qui lui ont assuré une expertise recherchée dans son secteur d’activités.

«Nous avons démarré en 2009 avec mon frère Grégoire, se souvient Alexandre, à l’époque, nous étions précurseurs, le marché des drones n’existait pas, nous les fabriquions pour proposer des services de prises de vue aériennes de qualité ».

La demande aidant et les usages se diversifiant, la TPE s’est imposée comme l’un des premiers constructeurs de drones français avant d’être rachetée par Azur Drones en 2017.

«Flying Eye a repris son indépendance début 2019 pour se positionner davantage sur la distribution», explique le PDG.

Le marché a en effet évolué, les Chinois se sont imposés comme des acteurs de poids difficiles à concurrencer.

Flying Eye compte aujourd’hui parmi les gros distributeurs en France des drones du leader mondial chinois DJI, «nous sommes revendeurs officiels pour une dizaine de marques, dont certaines françaises comme Parrot».

L’entreprise dispose aussi d’une cellule R&D pour répondre à des demandes spéciales «comme le développement de systèmes de secours, avec parachutes et coupe moteur, nécessaires en cas de dysfonctionnement du drone, un segment d’activité où  ous vendons aussi à l’export.»

Flying Eye propose enfin un catalogue de formations, notamment pour les pilotes professionnels, une activité en forte croissance, elle a représenté 400.000€ de CA en 2022 contre 290.000 en 2021.

Source : Tribune l’avenir côte d’azur – N°1174 du vendredi 25/11/2022

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